Un nombre important de personnes utilisent des méthodes naturelles pour se débarrasser de leur déprime saisonnière, pourquoi pas vous ?
Premier symptôme lié au changement de saison en plus du bon vieux rhume ou de la trachéite, la déprime est un affaiblissement psychologique qui touche énormément de gens. Les statistiques parlent d’environ 8% des français entre 15 et 75 ans qui sont en état de déprime de façon récurrente. Pour la plupart, ils traversent un épisode déprimé chaque année, ce que beaucoup de magazines appellent « dépression saisonnière ».
Sans doute vous connaissez tous ces petits signes dans votre vie quotidienne qui sont les prémices de cet état déprimé : la tristesse, la morosité, le manque d’entrain, le « bourdon » comme on dit.
Alors, comme si un mauvais génie s’emparait de vos pensées, vous ruminez des idées sombres, vous vous accommodez de la fatalité qui vous enserre et votre motivation ainsi que votre potentiel énergétique, mettent vos compteurs à zéro côté dynamisme.
Une sensation de mal-être, de n’être jamais là où il faut et quand il le faut… Le blues du « business man » comme dans la chanson : « Mais finalement tout le monde peut-être touché ».
Les inconvénients connexes à la déprime sont principalement une défaillance dans votre sommeil. Des difficultés à vous endormir ou bien des nuits agitées qui n’apportent aucun bénéfice puisque votre inconscient ne vous ressource pas positivement durant votre sommeil.
En général s’ajoutent également des troubles alimentaires ; soit vous n’avez plus d’appétit, les « batteries » étant à plat, votre organisme ne ressent même plus la nécessité de reprendre des forces ce qui est paradoxal et pourtant assez logique : votre déprime entraîne un « laisser-aller » sur tout et donc une forme « d’inutilité psychologique » se dessine sur tout ce que vous seriez censé entreprendre.
De quelle façon en finir avec votre déprime ?
De petites astuces et quelques remèdes naturels peuvent vous aider à reconquérir votre ambition à faire de votre quotidien un enchantement.
D’abord, couper le cercle vicieux de l’isolement qui induit l’état de déprime et son crédo « je n’ai envie de rien »…
Restaurer une vie sociale mise en berne : vous ne dites pas d’illico presto organiser une immense fête chez vous, non, mais plutôt de vous ménager des moments d’échanges avec des amis, autour d’un café, ou bien une sortie culturelle après laquelle vous pouvez discuter de vos impressions communes ou contradictoires. Bref, de quoi redémarrer un fonctionnement humain qui est de partager du bon temps, des idées, des envies.
La solution de l’aide médicale est envisageable lorsque la déprime s’installe. Mais nous sommes d’accord pour dire que c’est pour les cas de déprimes très ancrées. Quand la dérive psychosomatique se rapproche de la dépression, le contexte n’est plus le même et une prise en charge médicamenteuse et psychologique peut être nécessaire.
Mais pour notre sujet, déprime passagère, vous pouvez opter pour des alternatives de phytothérapie, de médication à l’ancienne avec les plantes ! Leurs bienfaits sans adjonction de chimie s’avèrent efficaces.
Pour preuve, récemment, une plante aux vertus stimulantes pour la sérotonine (rappel : la sérotonine est le principe actif que l’on trouve dans les psychotropes chimiques ; c’est un neuromédiateur qui active le vaste champ des réflexes, de l’envie, de la désinhibition) a été étudiée. Elle contient à l’état naturel un antidépresseur sous la forme de l’hormone 5htp (forme active de la sérotonine). Cette plante, le Griffonia, nous vient des contrées d’Afrique de l’ouest, où la pharmacopée traditionnelle est riche d’enseignements pour nos habitudes occidentales remplies d’artifices…
Les produits naturels pour lutter contre la déprime
D’autres produits naturels sont également très intéressants à utiliser lors d’une déprime passagère.La gelée royale par exemple, connue déjà pour ses vertus revitalisantes, est préconisée pour les coups de blues qui durent, les déprimes qui empoisonnent la vie.
La gelée royale peut être consommée tout au long de l’année et l’équilibre entre les substances qui la constituent (acides aminés, protéines, sels minéraux, oligoéléments et vitamine B5) en fait l’allié de taille contre la déprime, la fatigue extrême et la neurasthénie induites.
Sinon, vous pouvez aussi puiser dans l’Aloe Vera pour remonter votre capital « joie de vivre » et tordre le cou pour de bon aux vilaines idées noires qui dévitalisent votre corps, affadissent votre teint et sapent votre moral.
L’Aloe Vera qui possède des propriétés variées, ne contient pas moins de 80 nutriments essentiels à une bonne santé, tous bénéfiques pour le corps et l’esprit.
Pour ce qui vous intéresse, à savoir la déprime et son cortège de maux psychosomatiques, l’Aloe Vera peut s’ingérer pour favoriser la régulation des fonctions physiologiques comme l’humeur (dont nous avons déjà parlé et qui est donc sous l’influence du bon fonctionnement de la sérotonine).
L’Aloe Vera est une plante dite stimulante car riche en vitamines et en acides aminés, elle comble vos carences de toutes sortes et sur le plan nerveux, vous ressentez du bénéfice très rapidement sur la qualité de votre sommeil et sur l’amenuisement de l’état déprimé.
C’est incroyable mais totalement réel ! Petit à petit le voile terne de votre vie se lève et c’est à nouveau le soleil qui brille au-dessus de vous.
Le mauvais génie balayé par les actions positives de la gelée royale et de l’Aloe Vera laisse de nouveau place à votre spontanéité, dans le travail dans votre vie personnelle…
En savoir plus sur l’Aloe Vera
L’Aloe vera est une plante que l’on utilise énormément en médecine. Son extrait de pulpe est utilisé afin de produire différents produits tel que des gels, des jus ou autres. Les produits d’Aloe Vera sont employés par bon nombre d’individus afin de soulager divers symptômes, notamment la prévention et la guérison de nombreuses maladies et conditions de la peau. L’Aloe Vera peut être employée sous différentes formes :
Gel d’Aloès
Le gel d’Aloe Vera peut-être utilisé localement afin de soulager des brûlures, des infections cutanées, des inflammations au niveau de la peau, des blessures et bon nombres de problèmes de la peau (affections dermatologiques). On retrouve également des extraits d’Aloe Vera dans des produits pour la croissance des cheveux et la lutte contre l’acné.
Jus d’Aloe Vera
Le jus d’Aloe Vera est une boisson que l’on prend oralement afin de traiter de nombreux soucis médicaux. Comme les brûlures d’estomac, traiter le syndrome du côlon irritable ainsi que la constipation. On peut trouver le jus d’Aloe Vera sous divers formes et produits, vous pourrez donc boire de l’eau d’Aloe Vera ainsi que de nombreuses boissons et dessert comme les yaourts… De nombreux bienfaits sont associés au jus d’Aloe Vera.
L’Aloe Vera à travers les siècle et les civilisations
On utilise l’Aloès depuis au moins 5000 ans, pour prévenir ou guérir un certain nombre de maladies. On retrouve les premiers usages de l’Aloe Vera (aloès vrai en latin) chez les Sumériens.
Des ouvrages chinois sur les plantes médicinales, datant de plus de 4000 ans avant JC (paix et bénédictions de Dieu sur lieu), classaient l’aloès comme un « Remède d’Harmonie » et considéraient que c’était une plante spécifique aux brûlures et aux affections de la peau.
Des tablettes d’argile ont été découvertes dans les ruines de Nippur datant de plus de 2000 ans avant JC (Paix et Bénédictions de Dieu sur lui), où étaient inscrites les usages thérapeutiques de l’aloès. Dans l’ancienne Mésopotamie fut aussi découvert des tablettes d’argile vantant les vertus de l’aloès.
Dans l’ancienne Egypte, 2000 ans avant JC (Paix et Bénédictions de Dieu sur lui), de nombreux complexes de plantes ainsi que des posologies de l’aloès ont été reproduit en hiéroglyphes. On dit que Néfertiti et Cléopatre se baignaient dans des jus d’aloès. Les égyptiens la vénéraient et l’appelaient « la plante de l’immortalité ».
Les arabes, 600 ans avant JC (Paix et Bénédictions de Dieu sur lui), produisaient des remèdes à base de sève et de pulpe d’aloès, et qui ont été diffusés dans de nombreux pays orientaux et asiatiques. Ils la nommaient « le lys du désert ».
Le roi Salomon (Paix et Bénédictions de Dieu sur lui) en cultivaient pour ses propriétés médicinales.
Chez les grecs, la plante était utilisée pour soigner les problèmes de peau.
Vers le XVe siècle, l’aloe vera fut découvert en Espagne grâce à des jésuites, car ils avaient accès aux anciens textes des Grecs et des Romains, décrivant les propriétés de l’aloès.
Les études scientifiques sur l’Aloe Vera
D’après le Dr Albert T.Leun, les propriétés émolliente, cicatrisante et hydratante de l’aloès sont dues à une synergie de toutes les substances contenues dans l’aloe vera.
Mr Freytag, chercheur en pharmacie, la surnommée : l’hormone des blessures.
En effectuant des expériences avec l’aloe vera, sur des rats et des lapins, des chercheurs, découvrirent l’efficacité de l’aloe vera sur les ulcères, les kératites et sur les leishmanioses cutanés.
Des articles scientifiques tirés de : « Journal of Pharmaceutical Science« , « Oral Surgery« , « International Journal of Dermatology« , « Industrial Medecine and Surgery » ; Ces articles décrivent les bienfaits de l’aloe vera, sur les maux suivants : acné, anémie, brûlures, constipation, aigreurs d’estomac, ulcère de jambe, ulcère gastro-duodénal, sumac grimpant, psoriasis, brûlures dues à un liquide bouillant, coups de soleil, tuberculose ….
Cette plante est reconnue dans le monde entier pour son innocuité et l’absence d’effets secondaires.
La revue médicale « International Journal of Dermatology » juge excellents les résultats de l’aloe vera sur le cuir chevelu.
Dans les années 70, les Dr Ruth Sims et Eugène Zimmerman ont fait avancer l' »axiome de l’enzyme ». Ils ont constaté que l’aloès était remarquablement efficace pour bon nombre de maux comme, les coups de soleil, les éruptions cutanées, le prurit anal, et prurit vulvaire.
Pour qu’elle soit réellement efficace, la posologie doit être de 5 cuillères à soupe 3 fois par jour, soit 15 cuillères à soupe par jour.
L’aloe vera et ses vertus scientifiques par le Dr Vautrin
Historiquement, l’Aloe Vera fut utilisé pour améliorer la cicatrisation des brûlures. Une méta-analyse a été faite des 4 études contrôlées contre placebo, totalisant 371 patients : le temps de cicatrisation dans le groupe aloe Vera était plus court de 9 jours sur le groupe contrôle (placebo) avec un p<0,006 c’est-à-dire un résultat hautement significatif et indiscutable.
Propriétés de la pulpe d’Aloe Vera
Une étude allemande récente, contrôlée contre placebo, a démontré sur des irradiations UVB (telles que celles du soleil) que le gel d’Aloe Vera était supérieur au placebo de contrôle auquel était ajoutée l’hypodrocortisone (corticoïde) en topique.
L’efficacité la plus remarquable de la pulpe d’Aloe Vera est certainement sur le tractus digestif. Il aide à la digestion, à la protection et cicatrisation des ulcères de l’estomac mais au-delà, son efficacité anti-inflammatoire en fait un des traitements les plus performants, notamment en raison de l’absence d’effets secondaires, dans les colites ulcéreuses dites aussi rectocolites hémorragiques. L’Aloe Vera est efficace et dénué d’effets secondaires dans ces syndromes inflammatoires digestifs graves.
Pour revenir aux affections cutanées, les études positives sur le lichen plan oral et vulvaire, affection dermatologique souvent d’ordre immunitaire, confirment un des caractères modulateurs de l’immunité de l’Aloe Vera.
Certains effets anticancéreux de l’Aloe Vera ont été démontrés chez la souris mais le produit ne doit jamais être utilisé dans ce contexte.
Des effets modérateurs du diabète de type II ont également été prouvée mais l’Aloe Vera ne doit pas être utilisé comme anti-diabétique car les effets sont trop inconstants et difficilement gérables.
En outre le tonus et la forme, paramètres difficilement quantifiables scientifiquement, sont très souvent améliorés par l’Aloe Vera et là, les consommateurs du produits en sont les meilleurs témoins.
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